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À quelques jours de la rentrée scolaire, fixée au 25 septembre, parents d’élèves et couturiers se livrent à d’âpres négociations. Chacune des deux parties veut un prix sur mesure pour habiller les enfants. En ces temps durs où l’inflation devrait dépasser les 10% cette année, les lois du négoce peuvent faire des victimes.

Le déploiement de la brigade spéciale de lutte contre le désordre urbain pour débarrasser la ville la plus peuplée du pays de toute forme de mendicité, des commerces de rue et bien d’autres activités informelles n’est pas remis en cause par les Abidjanais. En revanche, l’absence d’alternatives au secteur informel inquiète ceux et celles qui en vivent.

Ils étaient plus de 3.000 marchands ambulants à y gagner leur vie. Une semaine après leur déguerpissement, c’est toujours l’amertume qui prédomine chez eux, en attendant les promesses de financement annoncés par le Premier ministre Ousmane Sonko.

Dans certains quartiers de Rabat, le nombre de vendeurs ambulants s’est accru en cette période d’Aid Al-Adha, poussant les autorités à agir. Cette revue de presse est tirée d’un article d’Al Akhbar.

Les anticipations des chefs d’entreprises du secteur des services marchands non financiers (SMNF) pour le 1er trimestre 2024 révèlent une augmentation de l’activité globale pour 45% d’entre eux et une baisse pour 16%, selon le Haut-Commissariat au plan (HCP).

Pour en finir avec le phénomène des ferrachas, il n’y pas trente-six solutions. Il faut créer de l’emploi pour tout le monde. En attendant, les autorités font de leur mieux pour libérer l’espace public. Une revue de presse du quotidien Assabah.

Face à la campagne de libération du domaine public à Casablanca, les marchands ambulants se sont constitués en coordinations locales pour trouver des alternatives leur garantissant des revenus stables. Une revue de presse d’Assabah.

Les marchands ambulants se multiplient dans le quartier de Takaddoum (Le Développement), à Rabat, afin de perturber la quiétude de la population locale et de provoquer le désordre sur la voie publique. Un constat qui interpelle à plus d’un titre, explique Al Akhbar, dont provient cette revue de presse.