Tous les articles correspondant à #médecins

L’hôpital régional Moulay Abdellah à Salé, qui dessert une population de plus d’un million d’habitants, est confronté à une grave pénurie de personnel médical. Cette revue de presse est tirée d’un article d’Al Akhbar.

Depuis février 2022, des milliers d’étudiants marocains en médecine sont rentrés d’Ukraine avec l’espoir d’exercer leur vocation. Mais leur parcours d’équivalence est semé d’embûches: lourdeurs administratives, délais interminables et manque de transparence. Pendant ce temps, le Maroc, en besoin urgent de médecins, peine à intégrer ces diplômés. Témoignages d’étudiants, colère des parents et réponse des autorités.

Al Barid Bank et le Conseil national de l’ordre des médecins ont procédé à la signature d’une convention de partenariat portant sur la mise en place d’une offre dédiée au profit des médecins.

Le syndicat indépendant des médecins du secteur public (SIMSP) a annoncé une nouvelle grève nationale mardi 28, mercredi 29 et jeudi 30 janvier, pour dénoncer le non-respect par le ministère de la Santé «d’engagements antérieurs» et d’un «dialogue responsable». Cet article est tiré d’une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

Face à ce qu’ils qualifient de mépris du gouvernement pour le secteur de la santé et un non-respect des engagements antérieurs, les médecins du secteur public prévoient des grèves nationales à partir du 21 janvier 2025 et menacent de paralyser le secteur durant trois semaines. Ces mobilisations incluent la suspension des consultations et des services administratifs dans les centres de diagnostic.

Un médecin du CHU de Tanger a été condamné à une peine de deux ans de prison ferme et à une amende de 500 dirhams pour trafic illégal de poches sang et de médicaments destinés aux patients. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.

Face à la multiplication des campagnes de chirurgie de la cataracte, présentées comme humanitaires, le Syndicat national des ophtalmologistes libéraux du Maroc (SNOLM) monte au créneau. Il dénonce des pratiques jugées dangereuses, illégales et contraires à l’éthique médicale, mettant en péril la santé des patients et fragilisant les mécanismes de l’Assurance maladie obligatoire (AMO).