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C’est officiel. Les lignes de tramway T3 et T4 à Casablanca entreront en service à partir du lundi 23 septembre. L’annonce a été faite dans un communiqué par la société de développement local de la métropole Casa Transports.

De nombreux voyageurs se pressent à la gare routière Kamra, après la fin des vacances, quittant la capitale à l’approche de la nouvelle rentrée scolaire, ou au contraire regagnant Rabat pour s’apprêter à accueillir l’école des enfants.

Maârif? Non Khouya, je prends par Benkaddour! À Casablanca comme ailleurs, les chauffeurs de taxi n’en font qu’à leur tête. Les alternatives comme Careem ou InDrive? Ils sont littéralement harcelés et pourchassés par les taxis «rouges». En toute logique, la Brigade convoque le taxi driver pour s’en expliquer.

25 ans de règne - Ep 6 | Depuis son accession au trône, le Souverain n’a cessé d’œuvrer au renforcement des infrastructures du pays en inaugurant de grands projets, dont des autoroutes, des aéroports, une ligne ferroviaire à grande vitesse ou encore des tramways, jetant ainsi les bases d’un nouveau Maroc tourné vers la modernité.

Le mercredi 24 juillet, la ville d’Agadir a dévoilé son Trambus, un service de transport en commun de nouvelle génération. Il s’appuie sur des bus jumelés longs de 18 mètres, conçus pour offrir un niveau de service comparable à celui d’un tramway.

Le ministre de l’Intérieur, Abdelouafi Laftit, a dévoilé ce lundi 27 mai devant le Parlement un ambitieux programme de renouvellement du parc des autobus urbains, en affirmant que le gouvernement a d’ores et déjà décidé d’acquérir prochainement quelque 3.500 véhicules de transport, qui seront mis en circulation dans le Royaume.

Le ministère de l’Équipement a lancé, ce vendredi 3 mai, une consultation en vue de réaliser l’étude de définition d’une autoroute de connexion reliant les axes Rabat-Casablanca continentale, Rabat-Fès et Kénitra-Tanger. Objectif: offrir une alternative aux usagers venant de Fès pour rejoindre Tanger ou Casablanca.

L’accident a eu lieu sur un passage piéton qui n’a pas été repeint. Pour la victime, il existe toujours. Pour le coupable, non. Pour la ville, il a été déplacé d’un endroit à un autre. Alors, c’est la faute du piéton? Du conducteur? De la ville?

Vous voulez aller à Maârif, mais lui veut vous imposer un détour par Lahraouyine; et à deux ou à trois, ne rêvez pas de monter dans son taxi qui sent le tabac et les chiffons mouillés… Il livre une guerre sans merci aux chauffeurs de VTC, qu’il s’amuse à piéger en se faisant passer pour un client, avant de les passer à tabac. La loi et le client, vous l’aurez compris, sont le dernier souci de «Moul taxi hmer», qui ne rougit jamais de ses attitudes de charretier. Même devant les fins limiers de la Brigade qui essaient de lui faire entendre raison.