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La poussière du scandale de la présidentielle algérienne et de son lot de fraudes massives et de chiffres cacophoniques n’était pas encore retombée, qu’un nouveau feu se déclare dans le pays du monde à l’envers, cette fois-ci sur le front de l’économie. Le taux de change du dinar algérien sur le marché parallèle, le seul qui vaille, enregistre des records de baisse face à l’euro: depuis le dimanche 15 septembre, 1 euro s’échange contre pas moins de 244,5 dinars. Un nouveau symptôme d’une économie en faillite, d’institutions qui périclitent et de citoyens qui ne font plus confiance à leur monnaie.

Le déficit en liquidités bancaires atteint des sommets, ce qui pousse Bank Al-Maghrib à intensifier ses actions. Une revue de presse de La Vie Éco.

Dans le cadre de l’émission de la nouvelle série de billets de banque et de pièces de monnaie, Bank Al-Maghrib annonce la mise en circulation du nouveau billet de 20 dirhams, à compter de ce mercredi 21 août, jour de commémoration de la Fête de la Jeunesse.

Face aux risques accrus de blanchiment d’argent et de fraude, ainsi qu’à la prédominance de l’économie informelle, les autorités envisagent des mesures pour freiner cette tendance, notamment à travers la future monnaie numérique, l’e-dirham, et la promotion du mobile banking. Cet article est une revue de presse tirée de Challenge.

Un homme âgé de plus de 80 ans est accusé d’avoir écoulé l’équivalent d’une importante somme en faux billets dans des marchés de la capitale. Il profitait de son apparence engageante pour gruger ses victimes. Une revue de presse d’Al Akhbar.

Avec des actions d’information et de sensibilisation, l’Office des changes réserve un traitement spécifique aux Marocains résidant à l’étranger. Une revue de presse de La Vie Éco.

Le projet du dirham électronique, initié par Bank Al-Maghrib, a toutes les chances de réussir, vu que certains pays ont déjà lancé avec succès leur monnaie numérique et que d’autres en sont à une phase d’adoption avancée, indique, dans cet entretien avec Le360, l’économiste El Mehdi Ferrouhi. Si ce projet aboutit, ses retombées positives seront importantes, mais il devra au préalable éviter une multitude d’écueils.

Promotion du paiement électronique, incitations fiscales, éducation financière… Rien ne semble pouvoir freiner l’utilisation massive de l’argent liquide dans les transactions courantes. Le phénomène suscite l’inquiétude de la Banque centrale et des acteurs de l’écosystème des moyens de paiement qui peinent à cerner les facteurs qui l’entretiennent.

Pour mieux comprendre l’usage du cash et le cycle de vie des différentes coupures au Maroc, plusieurs recommandations ont été formulées par les auteurs de l’étude «Cash: Circulation non transactionnelle» publiée dans la huitième édition de la «Lettre de la Recherche» de Bank Al-Maghrib. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.