Dans cette tribune, Neila Tazi, parlementaire et actrice culturelle, salue la révision de la Moudawana menée par le roi Mohammed VI, un acte visionnaire conciliant traditions, religion et aspirations universelles. Pour la présidente de la commission des affaires étrangères et de la défense de la Chambre des conseillers, avec la reconnaissance du travail féminin, l’institution de la garde partagée et l’ouverture sur l’héritage, le nouveau texte pose les jalons vers un Maroc plus juste, unifié et inclusif.