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On l’espérait. On l’appréhendait! On la redoutait! La nouvelle est tombée: il n’y aura pas de sacrifice pour la fête du sacrifice!

Après l’annonce de l’annulation du sacrifice de Aïd Al-Adha, les éleveurs de la région de l’Oriental font face à une crise sans précédent. Les prix des ovins ont chuté de près de 50%.

Sur les marché de bétail du grand Casablanca, les prix des moutons ont baissé de moitié, voire davantage, suite à l’annulation du rituel du sacrifice de l’Aïd Al-Adha. Reportage au souk de Tit Mellil.

L’exhortation royale à ne pas célébrer le sacrifice cette année met en lumière le rôle prépondérant de la commanderie des croyants et confirme la singularité du modèle marocain dans sa gestion de la religion et de la politique. Cet article est tiré d’une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

Dans l’Oriental, l’élevage ovin est une activité ancestrale menacée par le changement climatique et les difficultés économiques. Les éleveurs d’Aïn-Béni-Mathar luttent pour préserver la race locale de moutons «Daghma», prisée pour sa résistance et la qualité de sa viande.

En prévision de l’Aïd Al-Adha, les éleveurs de bétail ont commencé l’opération d’engraissement des moutons. Ce processus, assimilé à une activité industrielle intégrée, a pour objectif d’optimiser la commercialisation, et d’assurer un rendement satisfaisant sur l’investissement en rendant les ovins plus robustes, et bien en chair. Cet article est tiré d’une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

Le Maroc a signé un protocole d’accord avec l’Australie prévoyant l’importation de 100.000 têtes de moutons vivants. Une mission marocaine, composée de quinze membres incluant des responsables officiels et des importateurs, se trouve actuellement dans ce pays pour finaliser les modalités de cette transaction. Cet article est tiré d’une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

Le cheptel marocain, avec seulement 1,5 million de têtes selon les chiffres du recensement, est largement insuffisant pour satisfaire la demande de l’Aïd Al Adha, qui se situe entre 5,5 et 6 millions de têtes d’ovins. Face à cette pénurie, de nombreux citoyens appellent à l’annulation de la célébration de ce rituel religieux. Cet article est tiré d’une revue de presse d’Assabah.