Tous les articles correspondant à #mouton

Les services de la gendarmerie ont réussi à démanteler un réseau qui a terrorisé les éleveurs de la région de Khémisset, après plusieurs vols de bêtes dans leurs élevages. Une revue de presse issue d’Al Akhbar.

Dans une question écrite adressée au ministre de l’Agriculture, la députée PPS Nadia Touhami a mis en garde contre une maladie touchant des ovins dans la région d’Al Haouz. Le360 apprend que le diagnostic établi par les autorités vétérinaires a exclu l’hypothèse d’une maladie contagieuse.

À la séance des questions orales hier, lundi 24 juin à la Chambre des représentants, des députés de l’opposition et des partis de la majorité ont appelé le ministre de l’Agriculture Mohammed Sadiki à démissionner, suite à la gestion qu’ils ont qualifiée de «désastreuse» des prix pratiqués sur les moutons de l’Aïd Al-Adha qui vient de s’achever. Une revue de presse d’Assabah.

Les marchés de Dakar grouillent toujours de moutons. La cause n’est pas à chercher loin: des prix élevés pratiqués dans un contexte économique difficile ont fait que des contingents entiers d’ovins ont échappé au couteau du sacrifice.

Les parcs de la capitale malienne sont toujours pleins de moutons. Beaucoup de vendeurs avaient fait de la surenchère avant la fête de Tabaski et se sont retrouvés avec de nombreux invendus.

Le petit calvaire des femmes (et des hommes) durant Aïd Al-Adha se prolonge au-delà du jour J. Entre les coutumes à respecter, les diverses traditions à concilier et les susceptibilités à ménager, les réunions de famille se transforment en potentiels incendies à éteindre. Exemples.

La gestion de l’approvisionnement et de la vente des moutons destinés au sacrifice de l’Aïd Al Adha est vivement critiquée en raison des prix exorbitants pratiqués sur les marchés locaux. Cet article est une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

Après la prière de l’Aïd Al-Adha que le roi Mohammed VI a présidée ce lundi 17 juin 2024 à la mosquée Hassan II de Tétouan, la ville de Khémisset a célébré, à l’instar des autres villes, avec faste ce grand évènement.

Un Aïd Al-Adha sous le signe de la crise pour les «brûleurs» de têtes et de pieds de moutons. Ces jeunes, qui travaillent essentiellement dans les quartiers populaires de la métropole, se plaignent de la diminution de leurs «portefeuilles» de clients, un grand nombre de familles ayant choisi de ne pas acheter de mouton cette année.