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La 5ème édition du Comité central du Parti du progrès et du socialisme (PPS, opposition) s’est tenue ce dimanche 22 décembre à Rabat. À cette occasion, le parti a dénoncé ce qu’il considère comme des défaillances majeures du gouvernement en matière socio-économique, notamment sur la question épineuse du chômage.

La sélection controversée d’une des sociétés appartenant au chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, pour réaliser la future station de dessalement d’eau de Casablanca pour un montant de 6,5 milliards de dirhams n’en finit pas de provoquer des remous au sein des partis d’opposition. Le PPS vient d’annoncer, vendredi 20 décembre 2024, une initiative. Les détails.

Rachid Hammouni, président du Groupe parlementaire du PPS (Parti du progrès et du socialisme, opposition) a dénoncé le bilan du gouvernement d’Aziz Akhannouch ainsi que l’attitude de ce dernier envers les députés de l’opposition.

La 4ème session du Comité central du Parti du progrès et du socialisme (PPS, opposition) s’est tenue ce samedi 9 juin 2024 à Rabat, sur fond de vives critiques à l’encontre du gouvernement accusé d’avoir affaibli le pouvoir d’achat des citoyens à travers ce qui a été qualifié de «libéralisme économique radicalisé».

Le chef du Parti du progrès et du socialisme (PPS), Nabil Benabdallah, n’a pas trouvé de mots assez forts, lundi 27 mai 2024, pour dénoncer ce qu’il a qualifié d’attitude «inappropriée» du RNI et du chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, après la lettre ouverte qu’a adressée le PPS à l’exécutif en qualifiant le bilan à mi-mandat de la majorité «d’insignifiant et de faible».

Dans une lettre ouverte à Aziz Akhannouch, le PPS fustige le bilan de mi-mandat du gouvernement, mettant en lumière les «nombreux dysfonctionnements et lacunes qui l’entachent».

Alors que le délai de six mois accordé à l’Instance chargée de la révision du Code de la famille touche à sa fin, le secrétaire général du PJD, Abdelilah Benkirane, est monté au créneau pour tirer à boulets rouges sur le PPS, l’USFP et le CNDH, qu’il a ouvertement accusés d’aller à l’encontre du référentiel islamique. Après les accusations, il a brandi la menace de la rue, en parlant au nom du peuple, fait remarquer le quotidien Al Ahdath, dont est tirée cette revue de presse.

Les dirigeants du PPS et de l’USFP, Nabil Benabdellah et Driss Lachgar, accusent le gouvernement d’entraver l’action institutionnelle en prenant des décisions unilatérales aux conséquences imprévues. Une revue de presse du quotidien Assabah.

Face à ce qu’ils ont appelé la «faiblesse du rendement politique» du gouvernement, l’Union socialiste des forces populaires (USFP) et le Parti du progrès et du socialisme (PPS, opposition) ont mis en place une «initiative d’action et de coordination politique commune», selon une déclaration politique conjointe publiée ce vendredi 15 décembre.