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Les enseignements tirés de la crise du Covid-19 ont permis de mieux se préparer et de réagir plus rapidement à l’épidémie de mpox, selon l’Alliance du vaccin (Gavi), dont la mission est d’accroître l’accès aux vaccins dans les pays pauvres.

Alors qu’un premier cas de mpox a été enregistré au Maroc, à Marrakech, grâce au protocole de veille établi par le Royaume, le ministère de la Santé a appelé le 12 septembre les citoyens à respecter les mesures préventives recommandées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

L’Unicef a annoncé samedi avoir lancé «un appel d’offres d’urgence» afin d’obtenir des vaccins contre le mpox pour pouvoir aider les pays les plus durement touchés.

Le Maroc a instauré un système de vigilance dans ses différents points d’accès terrestres, maritimes et aériens, pour les personnes en provenance des zones touchées. Dans le même temps, les voyageurs à destination de ces zones sont sensibilisés à la nécessité de respecter des mesures de protection. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

L’OMS a recommandé lundi aux pays touchés par le variant du mpox récemment apparu en Afrique de lancer des plans de vaccination dans les zones où des cas sont apparus.

Après le signalement en Suède d’un premier cas de mpox, l’OMS a alerté que d’autres cas importés de mpox étaient susceptibles d’être détectés prochainement en Europe. Depuis le début de l’année, cette maladie a fait 548 morts en République démocratique du Congo.

Les décrets d’application de la loi 15.91, promulguée il y a 30 ans, n’ont toujours pas été publiés, alors que le tabagisme continue de prendre des vies humaines. Il est responsable de 8% des décès au Maroc. Une revue de presse tirée du quotidien Assabah.

De plus en plus, le lait et les produits laitiers sont remplacés par certains consommateurs par des produits végétaux. Une tendance contre laquelle l’Organisation mondiale de la santé met en garde.

Un récent rapport analytique de l’OMS lève le voile sur les failles réglementaires majeures au sein des pays africains relatives aux dispositifs médicaux. Il en ressort qu’une large majorité de pays africains accuse un retard conséquent en la matière, menaçant la sécurité des patients. Le chemin à parcourir reste long, mais la feuille de route de l’OMS offre une solide base de travail. Zoom sur l’État des lieux et les perspectives économiques.