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Dans son rapport annuel 2023 sur l’état de la sécurité nationale, la présidence du gouvernement espagnol écarte tous les soupçons d’ingérence dans les affaires intérieures du voisin du nord par le Maroc. Les accusations d’espionnage sur Pedro Sánchez, dont le Royaume fait l’objet, sont écartées une bonne fois et pour toutes.

La France est bien consciente du droit du Maroc à parachever son intégrité territoriale. Pourtant, sur ce dossier, elle est encore à la traîne. Mais cela ne saurait durer. Une revue de presse du quotidien Assabah.

La décision de la justice espagnole de classer le dossier d’espionnage Pegasus a été ressentie comme un coup de massue par la presse française, qui a longtemps accusé le Maroc d’avoir utilisé ce logiciel. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Assabah.

Pour le Parlement européen, il n’y a aucune preuve qui incrimine le Maroc dans cette affaire d’espionnage. Mais les médias ne sont pas d’accord et continuent à faire leur choux gras de cette affaire. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

«Macron a été très, très maladroit. Il a manqué de respect au roi du Maroc. Je le sais de sources très sûres», a révélé l’écrivain Tahar Ben Jelloun dans une émission diffusée sur la chaîne i24NEWS.

Le Rassemblement national des indépendants (RNI, majorité) a vivement dénoncé, ce samedi 20 mai, lors d’un meeting à Béni Mellal, l’attitude du Parlement européen où certains eurodéputés ont avancé «sans aucune preuve» l’utilisation par le Maroc du logiciel Pegasus pour espionner des responsables européens. Il s’agit là d’une «diffamation pure et simple», affirme le parti.

Le dossier de l’affaire Pegasus est clos. Et c’est un «happy end» pour le Maroc, injustement accusé depuis 5 ans d’espionnage téléphonique sur des responsables européens, espagnols en particulier. Le rapport final de la commission d’enquête du Parlement européen a conclu qu’il n’existe «aucune preuve» contre le Maroc. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath.

Le Mouvement populaire (MP, opposition) a organisé, vendredi 31 mars à Salé, une conférence lors de laquelle le Parlement européen et le voisin de l’Est ont été vertement interpellés pour leur hostilité à l’égard du Maroc. Mohamed Ouzzine, le SG du parti, a également déclaré que la polémique Pegasus n’était qu’une affaire «montée de toutes pièces» pour nuire au Royaume.