Tous les articles correspondant à #PIB

Gabon: du bureau à la rizière, la reconversion nourricière
Les conditions climatiques favorables, les sols fertiles, les pluies abondantes... n’ont jusqu’ici pas été suffisamment mis à profit pour réduire les importations d’aliments et de faire de l’agriculture un levier d’essor économique dans un pays où l’extraction minière reste dominante. Pour inverser cette tendance, certains urbains retournent à la terre.
PLF 2025: en panne d’idées, Aziz Akhannouch demande à ses ministres de se serrer la ceinture
N’apportant rien de nouveau par rapport aux précédentes éditions, la note de cadrage du Budget 2025 a le mérite de révéler au grand jour le manque de créativité du gouvernement et son incapacité à trouver des solutions à la problématique de la croissance et au défi du chômage de masse.
Croissance: le taux de 4,6% prévu par le gouvernement en 2025 repose (un peu trop) sur la pluviométrie, selon des économistes
Dans les hypothèses retenues pour le projet de loi de finances 2025, le gouvernement table sur un taux de croissance de 4,6%. Un taux largement supérieur à ceux avancés par d’autres institutions et par les économistes interrogés par Le360. Ces derniers relèvent notamment que les prévisions de l’exécutif s’appuient en grande partie sur une pluviométrie normale, alors que la sécheresse est devenue une donnée structurelle au Maroc.
Budget: le gouvernement table sur une croissance de 4,6% en 2025
La croissance économique nationale devrait s’améliorer à 4,6% en 2025 et ce, sur la base des hypothèses retenues, a indiqué, jeudi à Rabat, la ministre de l’Économie et des Finances, Nadia Fettah.
Réformes fiscales en Afrique : les 6 segments de contribuables largement sous-taxés, selon le PNUD
Pour atteindre les Objectifs de développement durable (ODD) et l’Agenda 2063, les pays d’Afrique subsaharienne doivent s’attaquant à la sous-imposition d’un certain nombre de contribuables bien définis, tout en rationalisant leurs dépenses publiques. Mais cela nécessitera des réformes d’envergure, soutenues par une coopération fiscale internationale renforcée.
Ralentissement de la croissance économique: les raisons d’une panne
L’économie nationale est de nouveau rattrapée par le ralentissement. Au cours du premier trimestre 2024, elle n’a progressé que de 2,5% selon le HCP, et devrait connaître un rythme de croissance lent tout au long de l’année. Une évolution que les économistes que nous avons interrogés attribuent principalement à une atonie de la demande interne, en raison de l’affaiblissement du pouvoir d’achat et à une réponse inadaptée du gouvernement Akhannouch à cette situation.
Ralentissement de la croissance économique à 2,5% au premier trimestre 2024, selon le HCP
L’économie nationale a enregistré un taux de croissance de 2,5% au premier trimestre 2024, en ralentissement par rapport à la même période de l’année dernière, indique le Haut-Commissariat au plan (HCP). En cause, une baisse de 5% des activités agricoles, alors que celles des secteurs non agricoles ont augmenté de 3,2%.
Ces 7 pays d’Afrique devraient enregistrer des taux de croissance moyens supérieurs à 6% en 2024-2026
En dépit d’une conjoncture économique encore difficile, plusieurs pays africains devraient afficher des taux de croissance élevés durant la période 2024-2026, selon les dernières projections de la Banque mondiale. Ces progressions sont le résultat de facteurs politiques et de la robustesse de certains secteurs traditionnels auxquels se sont ajoutées de nouvelles activités économiques.
Le décrochage scolaire coûte 196 millions de dollars par année au Maroc
Dans un récent rapport, les experts de l’Unesco chiffrent à 196 millions de dollars le coût annuel du décrochage scolaire au Maroc. A l’échelle mondiale, ce coût atteint 100.000 milliards de dollars. Une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.
Banque mondiale: ralentissement de la croissance économique en 2024 dans la région MENA, y compris au Maroc
Selon les prévisions actualisées de la Banque mondiale, l’économie marocaine devrait se contenter d’un taux de croissance de 2,4% en 2024. Un niveau inférieur au taux de croissance moyen prévu pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord.