Tous les articles correspondant à #poisson

Le prix du poisson «du pauvre» atteint 20 dirhams le kilogramme, tandis que celui du poulet dépasse les 26 dirhams le kilogramme. À cela, s’ajoutent les tarifs des viandes rouges qui, malgré les importations, oscillent toujours autour de 120 dirhams le kilogramme. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Assabah.

La région Atlantique Sud continue de dominer en termes de volumes et de valeur. Le port de Dakhla, par exemple, a enregistré une augmentation de 5% en poids et de 18% en valeur. Mais les changements climatiques sont une menace aussi globale que réelle.

Au marché de Bamako, il est loisible de constater que les produits de la mer, les fruits et les légumes en provenance du Maroc ont la cote auprès des consommateurs. Prix abordables, fraîcheur et qualités organoleptiques ont fini par séduire tant et tant de gourmets maliens.

Quasiment plus aucun produit de consommation n’échappe à la forte inflation qui sévit actuellement. Après les viandes, ce sont désormais les prix des légumineuses, du poisson ou encore des légumes, jusqu’ici épargnés, qui flambent. Une revue de presse d’Assabah.

En Guinée, le poisson se fait rare. Face à cette situation, les acteurs de l’économie bleue se mobilisent contre le pillage des ressources halieutiques. Plusieurs stratégies sont évoquées pour protéger ces ressources et l’écosystème de la mer.

Le repos biologique est essentiel pour le secteur de la pêche qui assure 9 % du PIB et 23 % des devises d’exportation. Cette trêve ne semble pas arranger les affaires de certains pêcheurs qui estiment que poulpe et calamar, essentiellement destinés à l’export sont suffisamment abondants et peuvent être par conséquent finir dans leurs filets.

Le Maroc a exporté un volume total de 2.300 tonnes de poisson congelé en Russie entre janvier et mi-octobre 2024, devenant ainsi son deuxième pourvoyeur durant cette période. Les détails.

De juin à octobre c’est l’hivernage en Mauritanie. Et lorsque la mer est agitée, les pêcheurs préfèrent ne pas s’aventurer et prendre le risque de revenir avec des filets peu garnis. Dans un pays où la consommation de poissons est inférieure à la moyenne mondiale, la saison pluvieuse accentue la pénurie et fait flamber les prix du poisson.

Un incident environnemental a récemment perturbé la quiétude des jardins de la Ménara à Marrakech. Des poissons du célèbre bassin sont morts après avoir été nourris de manière inappropriée par des visiteurs. Après quelques semaines de travail pour rétablir l’équilibre écologique, la situation s’est stabilisée, redonnant aux lieux leur splendeur naturelle et récréative.