Tous les articles correspondant à #Produits alimentaires

Pour préparer ses étudiants au monde de l’entreprenariat, l’Institut supérieur agronomique et vétérinaire de Faranah, le seul du pays, inclut dans son cursus des séances pratiques au sein même du campus. Les futurs lauréats sont formés à la production, la transformation et à la commercialisation des produits agricoles.

«Tout est vraiment cher. Les autorités doivent agir. Il faut des politiques adéquates»... les doléances des consommateurs s’allongent au fur et à mesure que les prix prennent de l’altitude. Depuis quelques semaines, l’oignon, pourtant cultivé dans les différentes régions du pays et exporté vers les pays voisins, est vendu à prix d’or. L’huile aussi.

Nos habitudes alimentaires sont bouleversées par la malbouffe, qui menace notre santé physique et mentale.

De juin à octobre c’est l’hivernage en Mauritanie. Et lorsque la mer est agitée, les pêcheurs préfèrent ne pas s’aventurer et prendre le risque de revenir avec des filets peu garnis. Dans un pays où la consommation de poissons est inférieure à la moyenne mondiale, la saison pluvieuse accentue la pénurie et fait flamber les prix du poisson.

Riz, huile, sucre, lait… Un document du gouvernement annonce la baisse des prix des denrées de première nécessité, parfois selon des niveaux considérables. Cependant, commerçants et consommateurs disent ne rien voir de nouveau.

Lancée par l’Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA), l’initiative vise à sécuriser un large éventail de produits alimentaires, essentiels pour le marché marocain. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.

La 12ème édition du Blad Expo, s’est ouverte jeudi au Jardin écologique d’El Aroui à Nador, à l’initiative de l’association Union pour les Marocains du monde.

Trois personnes viennent de perdre la vie après avoir été victimes d’une intoxication causée par des aliments avariés qu’ils avaient consommés dans un snack. En tout, 26 personnes ont été contaminées. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

Alors qu’il a pris du galon, supplantant bien des produits nutritifs et suscitant jusqu’à l’écœurement, l’œuf ne semble plus vouloir redescendre sur terre. Entre «L’bayda mon amour» et le pauvre citoyen, c’est désormais «je t’aime, moi non plus». Invité à nouveau par la Brigade à s’exprimer sur son orgueil démesuré, voici sa réponse farfelue.