Tous les articles correspondant à #Relations bilatérales

250ème anniversaire du Traité de paix et d’amitié Maroc-États-Unis: une résolution au Congrès américain pour un partenariat renforcé et un appui au rôle régional du Maroc
Introduite par les congressmen Joe Wilson, républicain, et Bradley Schneider, démocrate, une résolution «reconnaissant l’amitié de longue date entre le Royaume du Maroc et les États-Unis d’Amérique» a été introduite à la Commission des affaires étrangères de la Chambre américaine des représentants. Son plaidoyer: le renforcement de l’alliance «historique et stratégique» entre les deux pays et l’appui au rôle du Maroc, sous le leadership du roi Mohammed VI, en faveur de la paix et la stabilité régionale.
Quand Tebboune se déculotte
On comprend bien que le président algérien n’avait d’autre choix que de se déculotter. Mais fallait-il le faire en français?
Répit dans l’escalade entre Paris et Alger?
Les relations entre Paris et Alger ont atteint un tel degré de tensions que de nombreuses voix n’écartent pas l’hypothèse d’une rupture des relations diplomatiques qui serait lourde de conséquences, autant en Algérie qu’en France. L’appel du pied de Abdelmadjid Tebboune en direction d’Emmanuel Macron suffira-t-il à tourner la page de la plus grave la crise entre les deux pays depuis 1962?
Canada: le futur Premier ministre Mark Carney répond à Donald Trump
Fraîchement élu à la tête du Parti libéral, le futur Premier ministre du Canada, Mark Carney, est monté au créneau dimanche contre le président américain, assurant dans un discours offensif que son pays «gagnera» et «ne fera jamais partie des États-Unis, de quelque façon que ce soit».
Arrivée ce samedi au Maroc de Gérald Darmanin, ministre français de la Justice
Le ministre français de la Justice, Gérald Darmanin, est arrivé ce samedi à Casablanca, deux jours avant le début de la visite de travail qu’il entamera officiellement le lundi 10 mars, a appris Le360 de source informée.
Exercice militaire conjoint Maroc-France: les dessous de l’hystérique réaction de l’Algérie
Le régime d’Alger s’indigne bruyamment des manœuvres militaires maroco-françaises «Chergui 2025», les qualifiant de provocation, alors qu’elle-même multiplie les exercices, seule ou avec la Russie, à la frontière marocaine. Derrière cette agitation se cache une manœuvre bien rodée: détourner l’attention des vrais sujets de tension avec Paris (Boualem Sansal, arrestations arbitraires, barbouzeries en France, OQTF…) vers un affrontement géopolitique fantasmé, mais autrement plus honorable.
Alger: la stratégie de la tension
Restée dans les annales de l’histoire, la Dépêche d’Ems illustre une stratégie diplomatique dont semble s’inspirer aujourd’hui le président Tebboune: titiller, provoquer, agresser le gouvernement français de manière à exciter une opinion publique facilement désorientée et prompte à critiquer Alger. Tactique facile, mais dangereuse à terme: le gouvernement algérien ne comprend pas qu’il donne à l’opinion publique française une image désastreuse de l’Algérie.
Cacophonie française sur l’Algérie?
Ce que le régime d’Alger semble avoir perdu de vue, c’est le chiffon rouge qui aurait provoqué ses réactions hystériques: la reconnaissance de la marocanité du Sahara occidental par la France. Ce sujet est désormais relégué au second plan par les OQTF, l’accord de 1968, les passeports diplomatiques et Boualem Sansal. Subitement, l’auteur de cette reconnaissance est devenu aux yeux du régime d’Alger le chevalier preux qui combat un gouvernement d’extrême droite.
Le Maroc a décidé de lever les formalités de visa courts séjours pour les citoyens albanais
Le Maroc a annoncé le début de la procédure visant l’annulation des visas courts séjours en faveur des ressortissants albanais afin de faciliter les échanges bilatéraux et doper le tourisme.
France-Algérie: l’ex-président François Hollande appelle à la fermeté avec Alger
Alors que le régime d’Alger impute le durcissement de ton de la France à l’extrême-droite française, accusée d’être animée par la haine et par un esprit revanchard qui justifierait cette «cabale» contre l’Algérie, la classe politique française de tous bords se range pourtant derrière le même discours. L’ancien président de France, le pourtant socialiste François Hollande, appelle à la fermeté avec l’Algérie.