Le taux des entreprises inactives sans être formellement dissoutes, est exceptionnellement élevé au Maroc, se situant à 7,3%, selon un rapport de la Banque mondiale et l’Observatoire marocain de la TPME. Interrogé par Le360, Badr Zaher El Azrak, professeur en droit des affaires, explique les raisons de l’ampleur prise par ce phénomène et ses conséquences juridiques et économiques, et esquisse des pistes de solution.