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Pilier économique de la région, la culture du cactus à Sidi Ifni subit une crise sans précédent, causée par la cochenille, un parasite qui a dévasté les champs. La situation a gravement affecté le revenu des habitants, entraînant une vague de migration parmi ceux qui dépendaient exclusivement de cette filière pour leur subsistance. Témoignages.

Les travaux du chantier du barrage Assif Ouinder ont atteint un taux de réalisation de 20%. La construction de cette infrastructure pour laquelle un budget d’environ 235 MDH a été alloué, vise à protéger la ville de Sidi Ifni contre les inondations, alimenter la nappe phréatique et contribuer à l’irrigation des terres agricoles.

Les charrettes de figues de barbarie commencent à pointer (timidement) le bout de leur nez dans plusieurs villes. Et pour cause, ce fruit d’été, très prisé et très apprécié des Marocains, se fait de plus en plus rare et de plus en plus cher.

Des tonnes d’anchois ont récemment échoué sur le sable d’une plage de Sidi Ifni (Guelmim-Oued Noun), un phénomène inhabituel qui intrigue les professionnels de la filière de la pêche côtière et les habitants de la région. Une revue de presse d’Al Akhbar.

Dans les hauts plateaux de Mejjat, au cœur de la commune de Boutrouch, province de Sidi Ifni, les femmes perpétuent un savoir-faire ancestral en tissant des tapis traditionnels, malgré les défis économiques. Dans un entretien avec Le360, Ismaïl Aknkou, fervent défenseur du patrimoine local, souligne l’importance de cette initiative dans l’économie sociale et solidaire.

À Sidi Ifni, les autorités locales mènent une opération de démolition des constructions illégales pour libérer le domaine public maritime. Une revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.

À travers une série de reportages intitulée «Un jour, une plage», Le360 vous emmène dans un voyage dépaysant à la découverte des rivages paradisiaques du Maroc. Chaque épisode est une promesse d’évasion, un appel à découvrir un nouveau sanctuaire de sable doré, de vagues dansantes et d’embruns marins. Aujourd’hui, direction la plage de Sidi Ifni.

Dans une série de reportages, intitulée «Un jour, une plage», Le360 vous emmène dans un voyage dépaysant en quête des rivages paradisiaques du Maroc. Chaque épisode est une promesse d’évasion, un appel à découvrir un nouveau sanctuaire de sable doré, de vagues dansantes et d’embruns marins. Aujourd’hui, direction Sidi Mohammed Ben Abdellah à Mirleft.

Considérée comme le fruit de saison le plus populaire et le plus accessible, la figue de barbarie atteint des niveaux de prix très élevés. La faute à la cochenille, un redoutable parasite qui a ravagé les récoltes. Mais pas seulement. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.