Tous les articles correspondant à #Société

Le 5 septembre, le podcast «Machi Rojola» sur les masculinités positives créé par Soufiane Hennani, militant pour l’égalité des genres, entame sa quatrième saison. Le premier épisode sera diffusé ce soir à 18h30.

Le 1er septembre 2024 a marqué le début du 7ème recensement général de la population et de l’habitat dans la commune rurale d’Aourir, au nord d’Agadir, comme dans le reste du Royaume. Cette initiative, conduite par le Haut-Commissariat au plan a été accueillie avec enthousiasme par les habitants de la région.

Le Conseil de gouvernement a adopté, ce jeudi 29 août, le projet de loi n°03.23 modifiant et complétant la loi n°22.01 relative à la procédure pénale, en tenant compte des remarques soulevées.

Dans une approche qui englobe sept décennies depuis l’indépendance du Maroc, et via des entretiens avec une centaine d’ingénieurs, le livre de Grazia Scarfo Ghellab met en lumière le diplôme d’ingénieur comme un instrument d’insertion dans l’élite. Reprenant à son compte la problématique de l’influence du système éducatif sur la stratification sociale, il interroge également la relation entre les technocrates et la politique.

Pendant que certains lézardent au soleil sous le signe des vacances, d’autres vivent la saison estivale comme une opportunité pour pratiquer une activité lucrative. Sur le sable de Aïn Diab, à Casablanca, ils sont ainsi nombreux à s’adonner à divers jobs d’été, dont la location de parasols. Parmi eux, Le360 a rencontré Hassan, jeune étudiant qui s’est improvisé, pour un été, loueur de ces articles de plage.

Les Jeux olympiques de Paris s’achèvent demain, 11 août. Et je vais vous dire: ils vont nous manquer!

Un nouveau parc de loisirs à Sbata a récemment ouvert ses portes aux habitants de Casablanca, apportant une bouffée d’air frais et une nouvelle option de loisirs en plein air pour les résidents. Ce parc propose une gamme d’installations récréatives pour tous les âges, ainsi qu’une sélection soigneusement choisie de plantes locales. Reportage.

Emportés par la vague de glow up que connaissent les plages marocaines, les loueurs de parasols n’ont plus que leurs yeux pour pleurer. À l’ombre de leur source de revenu, devenue désuète. Ils avaient pour habitude de faire la loi sur nos côtes sablées, imposant ordre et même désordre. Aujourd’hui, c’est leur activité qui tombe sous le coup de la loi. Leur porte-parole s’explique. Un peu mieux que certains «autres» d’ailleurs.

Sous le soleil éclatant de Kénitra, une énergie vibrante anime le Centre socio-culturel où résonnent les rires et les pas assurés des enfants. Ici, se déroule le 25ème séjour culturel orchestré par la Fondation Hassan II pour les Marocains résidant à l’étranger (MRE), un événement symbolique dédié à l’épanouissement culturel des enfants venus des quatre coins du globe. L’objectif est clair: renouer le temps d’un été au moins, avec les liens profonds qui unissent ces jeunes, souvent éloignés géographiquement, à leurs racines marocaines.