Après la chute du régime de Bachar al-Assad, la présence militaire russe dans la région, à travers les bases de Tartous et de Hmeimim, paraît compromise à moyen ou à long terme. Trois alternatives se proposent alors à Moscou en Méditerranée: le Soudan, la Lybie, mais aussi l’Algérie, qui pourrait voir d’un bon œil une présence militaire russe sur son territoire.