Tous les articles correspondant à #Tindouf

Le capitaine Ali Najab, celui qui a passé 25 ans dans les geôles de Tindouf, capturé par le Polisario, avant d’être libéré en 2003, est décédé le 26 novembre à l’âge de 81 ans. Ayant consacré sa vie à défendre l’intégrité territoriale du Maroc, Ali Najab restera présent, à jamais, dans les mémoires en tant que symbole de résilience et de dignité.

Lors d’une session de la 4ème commission de l’Assemblée générale de l’ONU, l’ambassadeur du Maroc auprès des Nations unies a fustigé son homologue, l’ambassadeur d’Algérie, Amar Benjama, pour sa fixation répétée sur la question du Sahara marocain. Omar Hilale a qualifié cette obsession de «pathologie schizophrénique», accusant l’Algérie d’être prisonnière d’une logique de conflictualité permanente.

«Les évadés de Tindouf», premier long métrage du journaliste et romancier marocain Abdelhak Najib, sortira en salle le 6 novembre prochain, jour de commémoration de la Marche verte. Une date tout sauf fortuite: le film plonge au cœur du conflit du Sahara, en contant l’épopée de cinq Marocains qui ont réussi à fuir les camps de Tindouf.

Les archives secrètes françaises, notamment celles du Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (SDECE), révèlent qu’en juin 1962, un accord secret entre la France et l’Algérie visait à maintenir une présence militaire française autour de Tindouf pour empêcher son ralliement au Maroc. Parallèlement, l’Algérie n’a cessé de manœuvrer, notamment avec le traité secret de 1961 signé entre le Maroc et le GPRA.

L’algérianisation de Tindouf est intimement liée au projet avorté de convoyer le fer de Gara Djbilet vers le Sahara atlantique.

Le déluge et les inondations qui se sont abattus sur Tindouf ont mis à nu la détresse des habitants des camps sahraouis de Lahmada, laissés pour compte par le régime algérien. Pourtant, ce dernier dit avoir fait de la défense de leur prétendue cause sa priorité nationale, au détriment des intérêts du peuple algérien lui-même. Les détails dans cette revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath.

Après l’émigration massive de nombreux leaders en France et en Espagne, à la recherche d’un droit d’asile, les dirigeants du Polisario ont de plus en plus mal à enrôler de jeunes Sahraouis dans les rangs de leur milice armée. Cette migration collective a été à l’origine d’un grave déficit dans leurs effectifs, y compris auprès des miliciens chargés de la répression des habitants des camps. Pour combler ces carences, le Polisario fait désormais appel à des adolescents âgés de 16 ans, dans le but de les transformer en «martyrs», afin de satisfaire la junte au pouvoir à Alger. Une revue de presse d’Assabah.

Plaque tournante du commerce transsaharien et étape importante de l’axe commercial reliant Mogador, Guelmim et Tombouctou, le qsar et la ville de Tindouf n’ont cessé d’être l’objet de toutes les intrigues coloniales françaises, en vue de gommer leur marocanité et de les rattacher au département de la Saoura, territoire amputé de l’empire chérifien depuis 1902.

Devant le Conseil des droits de l’Homme (CDH) de l’ONU à Genève, des militants d’ONG sahraouies ont vigoureusement dénoncé le détournement systématique d’aides humanitaires, ainsi que les graves violations des droits humains perpétrées par le Polisario envers les populations séquestrées dans les camps de Tindouf. Présentant des preuves, ils ont appelé à l’ouverture d’une enquête. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.