Le président algérien se trouve actuellement dans de sales draps. Il est confronté à un scandale d’écoutes téléphoniques, ordonné par la présidence algérienne et ciblant les principaux généraux de l’armée, dont le chef d’état-major, Saïd Chengriha. Même si cette affaire semble avoir fait l’objet d’une tentative d’étouffement, le clan des ex-généraux de la décennie noire, Khaled Nezzar et Mohamed Mediène, dit Toufik, vient de monter au créneau pour exiger l’identification et la sanction des responsables de ces graves actes d’espionnage.