Tous les articles correspondant à #Transport routier

Telle une artère qui irrigue le corps, la route reliant Faranah à N’Zérékoré traverse forêts et zones de productions de produits alimentaires qu’elle achemine vers les autres régions du pays. Construite dès les premières années de l’indépendance, ce ruban d’asphalte est essentiel à l’économie nationale. Mais la boue a fini par remplacer le goudron et des cratères bloquent la circulation des journées durant. Reportage.

Les usagers de la route nationale numéro 1 au Cameroun ne savent plus à quel saint se vouer. Pour cause, cette route stratégique qui dessert toutes les régions septentrionales et d’autres pays frontaliers se trouve aujourd’hui dans un état lamentable. Entre nids de poule et pelades, le trafic devient de plus en plus difficile.

L’activité est pénalisée par la présence de l’informel, le vieillissement de la flotte et la hausse des coûts d’exploitation. Cet article est une revue de presse tirée de Finances News.

Les deux plus grandes villes du Cameroun méritaient bien une autoroute. La construction de ce ruban d’asphalte moderne est entrée dans sa deuxième phase, la première étant déjà opérationnelle. Cette autoroute a été pensée pour améliorer également les déplacements des personnes et des biens entre les villes des pays voisins d’Afrique centrale.

Dakhla, Laâyoune ou encore des villes du Nord... beaucoup de Mauritaniens n’hésitent pas à faire la route pour passer leurs vacances au Maroc durant le mois d’août. D’un voyage par mois, ces rotations terrestres deviennent hebdomadaires, l’été venu.

La Société de développement local (SDL) Casablanca Transport a lancé une consultation en vue de la réalisation des travaux de réaménagement et de mise à niveau de l’axe Zerktouni-boulevard la Résistance entre boulevard Mohammed VI et boulevard de la Corniche. Le projet devrait coûter environ 112 millions de dirhams. Les détails.

À Libreville, l’heure des départs en vacances a sonné ou presque. Il y a du monde sur les routes et dans les gares routières où le nombre de voyageurs double, voire triple. Un flux de clients que les chauffeurs routiers doivent satisfaire.

Le gouvernement entend mettre de l’ordre dans le secteur du transport de marchandises. Jugé trop ouvert, le décret ayant accompagné la libéralisation de cette activité en 2003 sera bientôt amendé.

Après quatre ans d’accalmie, le dossier des tarifs de péage d’autoroute pour les poids lourds refait surface. La direction de la Société nationale des autoroutes du Maroc (ADM) a décidé d’appliquer aux transporteurs routiers les tarifs du Pass Jawaz, mettant ainsi fin à la «carte autoroutière prépayée», qui leur offrait une réduction de 10% aux péages.