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Le Maroc a annoncé le début de la procédure visant l’annulation des visas courts séjours en faveur des ressortissants albanais afin de faciliter les échanges bilatéraux et doper le tourisme.

Face aux agissements provocateurs du régime algérien, le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot, a annoncé que la France avait mis en place des restrictions d’accès au territoire français à l’encontre de certains responsables algériens. Le régime algérien a fait profil bas, en faisant part de sa «surprise» et de son «étonnement», comme si le principe de la réciprocité n’existait pas dans son lexique diplomatique. Une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.

Pour débattre des moyens visant à «reprendre le contrôle des flux migratoires» et définir ses «orientations» en la matière, François Bayrou réunit mercredi une partie de son gouvernement, divisé sur le sujet, sur fond de tensions croissantes avec Alger.

TLS Contact, prestataire chargé de la collecte des demandes de visas pour la France et la Belgique, change d’adresse à Casablanca. Un déménagement qui n’est pas passé inaperçu, provoquant un afflux inhabituel devant l’ancienne adresse.

En moins de deux ans, le Maroc a transformé l’accès à son territoire grâce au visa électronique. Avec plus de 385.000 visas délivrés, cette initiative souligne l’engagement du pays à promouvoir le tourisme et à simplifier les formalités administratives aux visiteurs étrangers.

Répondant à une question écrite sur les difficultés d’obtention du visa Schengen, le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a mis l’accent sur la nécessité de remédier aux dysfonctionnements constatés dans la gestion du système de visas, afin d’éviter qu’ils ne se retrouvent exploités par certains intermédiaires et courtiers illégaux. Cet article est tiré d’une revue de presse d’Al Akhbar.

Le Congrès des députés espagnol a adopté une loi mettant un terme aux permis de résidence instaurés en 2013 pour les ressortissants étrangers non-européens investissant dans l’immobilier pour un montant supérieur à 500.000 euros. La mesure prend effet en janvier 2025. Cet article est une revue de presse tirée de Challenge.

Censé être délivré au compte-gouttes aux seuls diplomates et affiliés, dans le cadre strict de l’exercice de leurs fonctions, le passeport diplomatique est devenu, en Algérie, un gâteau géant que se partagent tous les tenants, petits et grands, du pouvoir ainsi que les leurs. Avec, en prime, la possibilité de résider, faire son shopping, se faire soigner et profiter de nombreux autres privilèges dans des pays comme la France, sans avoir besoin d’un visa. Cette rente, le «Système» en a même fait un outil de pouvoir, utilisé pour rétribuer ses fidèles et sanctionner, en les privant du sésame, les récalcitrants. Décryptage.

Excessive, injustifiée et surtout ridicule, la décision prise par le pouvoir algérien d’imposer des visas d’entrée aux Marocains n’appelle à l’évidence aucune réaction de la part du Maroc, habitué aux provocations d’Alger, auxquelles il oppose systématiquement retenue et indifférence. Les objectifs de la manœuvre sont ailleurs et, paradoxalement, ce sont les ressortissants algériens qui sont visés. Le Royaume, lui, préserve le présent et, surtout, n’insulte pas l’avenir. Analyse.