Mercredi 16 juillet, le géant automobile Stellantis a fait deux annonces qui résument tout: pour le Maroc, ce sera 1,2 milliard d’euros et 3.100 emplois pour doubler la production de l’usine de Kénitra et lancer moteurs hybrides, micromobilité et bornes électriques. Pour Tafraoui, en Algérie, ce sera un kit CKD, 18.000 Fiat très légèrement montées et un rêve d’intégration locale à… 15%. Deux usines, deux méthodes et deux mondes. Quand le Maroc produit, le régime d’Alger déballe… et fanfaronne en se cramponnant à des mirages.