L’éclairage de Adnan Debbarh. Duel franco-chinois sur la production de voitures électriques au Maroc

M. Debbarh, cela me rappelle le cas des compétences MRE de France qui sont obligées d'aller travailler dans d'autres pays à cause du racisme à l'embauche en France. De même, le Maroc est obligé de trouver d'autres partenaires pour aller au niveau supérieur dans les industries technologiques comme les batteries. M. Debbarh, écoutez votre audio une seconde fois, certains ont bien une vision colonialiste, comme si les infrastructures construites n'appartenaient pas au Maroc alors qu'elles appartiennent bien au Maroc. Est-ce que les USA oseraient dire que les infrastructures à Shanghai en Chine leur appartiennent parcequ'ils y ont contribué? Non! Il faut continuer à coopérer et respecter les contrats avec la France mais aussi être conscient de certaines limites dûes au colonialisme passé.

Premièrement,un grand chokrane pour ce précieux savoir transmis faisant de vous un vrai professeur.. La Chine donc? Cet atelier du monde, moteur de sa croissance économique durant plusieurs décennies, pourrait être fiable dans un conflit qui s'annonce en rapport avec Taiwan ? Renault, à Tanger,et stellantis, à Kénitra,ne devraient-ils pas privilégier leurs investissements dans les moteurs thermiques,avec les infrastructures qui en découlent,en moteurs électriques pour, justement,y retrouver un win-win avec le Royaume ? Sinon,je comprends ce jeu d'équilibriste en stratégie..., sans pourtant brader les intérêts Suprêmes du Royaume du Maroc Souverain !... Alors main d'acier dans un gant de velours ? Oui! Transiger sur nos valeurs multi-séculaires ? Certainement pas ! Encore un grand merci!

Soyons modestes et arrêtons de nous comparer au géant qui est aussi l'usine du monde dans sa globalité. Nous pouvons avoir notre et petite place à condition de finir avec des tableaux idylliques et des discours quelques fois trop creux