Au large de Safi : une épave qui valait de l’or
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Un vieux navire chargé de canons, d’anciennes monnaies et d’objets précieux a été découvert sur la côte de Jorf Amouni de Safi en 2013. La rumeur selon laquelle l’épave contenait de l’or s’est répandue comme une traînée de poudre avant d’être démentie par le ministère de la Culture après que des fouilles sous-marines aient été entreprises. Cette région regorgerait d’épaves de bateaux militaires ou marchands. Tout porte à croire que ces anciens navires appartenaient aux flottes portugaises, anglaises voire même hollandaises.
Au large d’Agadir: le Baynyassa SS
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C’est au large de la plage de Sidi Toual, à 15 kilomètres de la ville d’Agadir, qu’a été découverte par une équipe de plongeurs l’épave d’un bateau à vapeur anglais, le Baynyassa SS. Immergée entre 6 et 10 mètres de profondeur, l’épave s’étend sur une surface de 700 mètres carrés. Il semblerait après étude que le bateau mesurait 122 mètres de longueur et qu’il effectuait, lors de son naufrage en 1918, une traversée transatlantique reliant le port de Santos au Brésil à Gibraltar. Le bateau aurait mis le cap sur les côtés d’Agadir en raison d’un problème technique avant de s’échouer le 15 septembre.
Au large de Dakhla: le Kaiser Wilhem
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Coulé le 26 août 1914 par un navire de guerre britannique, le paquebot allemand Kaiser Wilhem a été retrouvé par une mission scientifique au large de Dakhla. Mesurant 200 mètres de long pour 20 mètres de large, le bateau en question était initialement conçu pour le trafic civil avant d’être reconverti en navire de guerre en 1897.
Au large de Laayoune: le Que sera sera
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C’est sur le sable blanc de la plage de Laayoune que trône désormais le «Que sera sera», un bateau islandais qui fut abandonné par son équipage.
Au large d’El Jadida : l’épave gémissante
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Sur la plage d’El Haouzia à El Jadida peut être admirée l’épave d’un navire qui transportait une cargaison de bois précieux, en provenance d’Afrique et faisant route vers l’Europe. Pris en pleine tempête, le vaisseau tenta de se réfugier dans le port d’El Jadida mais s’échoua dans les eaux peu profondes, leurré par la lumière du phare.
Le navire fut coupé en deux avant d’être traîné sur la plage d’El Haouzia. Par temps de tempête, on peut entendre une complainte qui semble provenir de l’épave.
