L'éclairage de Adnan Debbarh. Rapport de la Banque Mondiale sur l'Algérie: les non-dits

VidéoDans ce nouvel éclairage, Adnan Debbarh revient sur le récent rapport de la Banque mondiale sur l’Algérie. Ce document, dit-il, n'a procédé qu'à quelques constats. Pour cet essayiste politique, les horizons s'assombrissent pour l'économie algérienne et c’est là le résultat de choix hasardeux, qui compromettent l'avenir des Algériens.

Le 14/01/2022 à 12h32

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Avec tout le respect que je dois à Monsieur Adnan Debbarh,je ne vois pas où se situe l'intérêt pour nous d'une analyse de l'économie algérienne ! Le diagnostic fait par la Banque Mondiale a été sans appel à ce sujet.Tout le monde a noté la réaction ridicule de ce régime qui est allé jusqu'à accuser la plus importante institution financière internationale de rouler pour le Maroc ! Il me semble plus utile que les analyses,les diagnostics et les réflexions de nos experts portent sur nos propres problématiques.

En toute objectivité, on se demande comment le peuple algérien ne veut pas comprendre que le régime des "cabranes"le considère comme des esclaves qui doivent se soumettre à leurs caprices et les encourager sans limites à faire du mal à leurs frères de l'ouest qui ne leur veulent que du bien . A bon entendeur salut!

Soyons sérieux, le régime des caporaux n’a jamais eu de véritable politique économique. Après tout, il ne s’agit là que d’un ramassis d’ignares en treillis qui ont pris le pouvoir dans un vaste pays nouvellement créé, grâce aux français. Ensuite, le hasard a voulu qu’ils disposent de la rente des hydrocarbures. Ce qui les a aidés à maintenir leur contrôle sur une population, à qui on a fait croire qu’elle n’avait pas besoin de produire quoique ce soit. Ainsi, pour contenir les algériens, tel un troupeau gardé dans une grange, les caporaux ont cru bon de mettre la politique de la rente au centre de toute leur «stratégie politique». Mais avec l’usure du temps, et une conjoncture globale sans précédent, le régime des vieux caporaux s’essouffle. Il a atteint ses limites. It’s game over!

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