M. Debbarh a absolument raison. Sans une bonne gouvernance, les compétences restent de simples critères d’employabilité qui permettent aux candidats d’accéder aux postes de responsabilité dans un gouvernement. Et puisque la bonne gouvernance va de pair avec la rigueur, la bonne performance n’est jamais loin. Dans le cas marocain, ce sont rarement les compétences qui font défaut. Le pays regorge de ressources humaines aux potentiels divers et, souvent, de haut calibre. Cependant, c’est bien dans la culture «corporatiste», ou «affairiste», prédominante que se trouve le problème. En effet, la plupart des responsables doivent d’abord changer de perception quant à leurs rapports avec les missions qui leur sont confiées. A commencer par la reconnaissance du fait que personne n’est indispensable!
Bienvenue dans l’espace commentaire
Nous souhaitons un espace de débat, d’échange et de dialogue. Afin d'améliorer la qualité des échanges sous nos articles, ainsi que votre expérience de contribution, nous vous invitons à consulter nos règles d’utilisation.
Lire notre charte