La cour d’appel de Casablanca rejette la demande de mise en liberté provisoire de Dr Tazi et Cie

طبيب التجميل حسن التازي وزوجته مونية بنشقرون

Dr Hassan Tazi et son épouse.

La chambre pénale de première instance de la cour d’appel de Casablanca a rejeté, jeudi, la demande de mise en liberté provisoire au profit de 8 individus, dont une femme et le propriétaire d’une clinique privée, Hassan Tazi, poursuivis pour traite d’êtres humains, escroquerie et faux et usage de faux en lien avec des factures de soins médicaux.

Le 13/04/2023 à 18h32

Lors de cette première audience du jeudi 13 avril à la cour d’appel de Casablanca, la défense avait demandé la mise en liberté provisoire des accusés, qui disposent de toutes les garanties de comparaître devant la justice à tout moment. Après délibérations, la juridiction a rejeté cette requête.

La même juridiction a décidé de tenir les prochaines audiences en présence des accusés, contrairement à la première audience qui s’est déroulée en visioconférence.

La chambre pénale de première instance près la cour d’appel de Casablanca avait reporté au 4 mai 2023 ce procès pour permettre à la défense de préparer sa plaidoirie. Les mis en cause sont poursuivis pour les chefs de traite d’êtres humains, escroquerie et faux et usage de faux en lien avec des factures de soins médicaux.

Par Le360 (avec MAP)
Le 13/04/2023 à 18h32