Portrait. Nisrine Iouzzi, la crack marocaine aux commandes du titanesque port Dakhla Atlantique

Nisrine Iouzzi, directrice de l’aménagement du Port Dakhla Atlantique.

Le 09/03/2024 à 13h22

VidéoÀ Dakhla, une vision se concrétise sous la houlette d’une femme d’exception: Nisrine Iouzzi, ingénieure d’État en hydraulique et en géotechnique, porte aujourd’hui la lourde responsabilité de diriger la Direction de l’aménagement et du suivi de la réalisation du port Dakhla Atlantique. Portrait d’une grande intelligence made in Morocco qui chapeaute un projet appelé à connecter l’Afrique au monde.

Portée par des ambitions sans bornes et une expertise pointue, Nisrine Iouzzi mène d’une main de maître le développement du port Dakhla Atlantique. Celle qui est aujourd’hui aux manettes de ce projet colossal a su forger son expertise à travers des études supérieures spécialisées au Maroc, ainsi qu’une carrière jalonnée de postes clés dans la gestion et la planification de projets maritimes importants. Ses compétences, acquises sur le terrain, l’ont préparée à relever le défi de cette infrastructure d’envergure.

L’histoire de Nisrine Iouzzi est donc celle d’une ascension guidée par la soif de connaissance et l’engagement pour le développement de son pays. Formée à l’École nationale supérieure des mines de Rabat, elle s’est rapidement distinguée par son intérêt pour les défis environnementaux et hydrauliques, un domaine où la précision et l’innovation sont primordiales.

Poursuivant sur cette lancée, elle a étoffé ses connaissances à l’École Mohammadia d’ingénieurs pour maîtriser la modélisation numérique de l’environnement naturel. Sa quête l’a menée à obtenir un doctorat en hydrodynamique marine, une spécialisation qui préfigurait sa future implication dans le projet ambitieux du port Dakhla Atlantique.

Nisrine Iouzzi n’a pas tardé à mettre ses compétences au service de sa patrie. Ses premiers pas professionnels, en tant que cheffe de projet pour l’Agence de promotion et de développement économique et social des provinces du Sud, l’ont vue orchestrer des projets d’urbanisation à Laâyoune, affirmant ainsi son rôle dans l’amélioration des infrastructures régionales.

Son expertise reconnue l’a également conduite au ministère de l’Équipement et de l’Eau, où elle a œuvré pour la protection et l’organisation du domaine public maritime, un préambule à son rôle actuel où elle allie vision stratégique et exigence technique.

En prenant les rênes du projet Dakhla Atlantique, Nisrine Iouzzi ne se contente pas de diriger une simple construction, elle orchestre la naissance d’un hub économique et maritime stratégique. Pour elle, ce projet pharaonique s’ancre résolument dans un plan royal visionnaire, avec pour ambition de positionner stratégiquement la région au cœur des échanges maritimes internationaux. Ce port incarne également l’avenir et symbolise l’engagement du Maroc envers ses générations futures.

Par Souilme Bouaamoud
Le 09/03/2024 à 13h22

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Les réponses précèdent les questions, disait LACAN. Quelles sont les questions qui précéderaient cet article et auxquelles il tente de répondre ? Moi qui fus reçu par Monsieur le Gouverneur de DAKHLA (encore toute ma gratitude à toutes et tous), je m'émerveille de ce qui se prépare ... car ce n'est qu'un début ! Continuons avec entrain !

Elle réussira mieux que l'homme ingénieur marié à Madame Corruption dans les marchés publics !. Je lui souhaite plein succès dans sa mission pour que son patriotisme, sa probité et ses compétences professionnelles soient reconnus et vulgarisés non seulement au Maroc mais à l échelle de notre Continent l'Afrique et pourquoi pas à l'échelle planétaire. Je garde dans mes archives personnelles l'article objet du présent commentaire du 9 mars 2024 pour y revenir le 9 de chaque mois jusqu'à l'achèvement des travaux du grand port Dakhla .. sachant que je suis ingénieur civil engagé depuis le 9 mars 2004 de mener des études et recherches sur des sujets d'intérêt général dans le SBTP en prêtant beaucoup d'attention aux articles des journaux et magazines marocains et internationaux. Merci Le360.

Tout en restant fier de cette dame et de beaucoup d’autres dans notre pays, hommes et femmes car heureusement on en a, je trouve votre article trop exagéré on dirait de la poésie. Sans doute c’est un haut cadre avec une formation d’ingénieur avec une expérience professionnelle correcte mais ce n’est pas encore le calibre dont à qui on doit réserver un article comme le votre, avec le temps et plus d’expérience cela viendra sûrement.

Chapeau bas, Madame. Bon courage.

Bravo ! Une fierté pour nôtre Royaume du Maroc Cherifien !

Charisme, rayonnement, maîtrise, parfait portrait d'une femme accomplie! Bravo Madame!

Une dame de fer allah y3tiha sahha. Je lui souhaite le succes et la réussite dans ce projet grandiose que tous les marocains attendent son démarrage inhaallah . Le Royaume est en bonne mains avec ses femmes et ses hommes prêts a tous les sacrifice pour notre Roi et notre pays . Mes respect chère madame .

le Maroc et les Marocains ils peuvent être fier de vous Lalla ( Louisa = Diamand) vous forcez le Respect et notre fierté Lalla Mais si certains impuissants religieux ils ne seront jamais content de vous voir sans le voile et le cache coup que Dieu vous accorde plus de réussite

Bravo et mille fois ça tombe bien pour ce jour de la fête de la femme BRAVO MADAME VOUS FORCEZ LE RESPECT fier d'être Marocain c'est grâce à vous Mais attention les frères Musulmans ! ( Monsieur Benkiran et ses troupes ) ils ne sont pas content de voir une femme sans le voile, et sans cacher ses cheveux , Si ils la voient sans cache cheveu ils vont créer du vent et des houles (mais bon l'impuissance culturelle est mortelle)

Un grand chokrane à Nisrine Iouzzi pour sa fibre patriotique,qui est un exemple pour beaucoup d' étudiants du Royaume voulant chercher fortune à l'étranger.. Oui,un grand chokrane pour sa gratitude envers le Royaume qui forme des étudiants,et il n'est pas juste que ces matières grises profitent au développement d'autres pays pas toujours bienveillant envers nous.. Personnellement,je trouverais normal que le Royaume puisse imposer quelques années aux étudiants arrivant dans le monde du travail pour servir la Mère-Patrie en une reconnaissance du coût financier au minimum..,et, surtout,envers une fibre patriotique sincère..

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