Les autres fondent l’esthétique et le monde.
Ils sont notre visage inquiet dans la lumière et la nuit
Ils sont notre part essentielle.
Ils sont le socle de nos interrogations et le début du langage.
Ils sont nos premiers gestes.
Ils sont nos blessures et le monde.
Ils sont la beauté et le désir ainsi que notre raison d’exister.
C’est pour eux que nous livrons des guerres insensées autant que rageuses, de tous les instants.
Pour nous approcher d’eux.
Et exister dans leurs yeux.
C’est cela la première prérogative que l’esthétique porte douloureusement en elle.
C’est sur cela qu’elle bâtit le reste.
Sans eux, rien ne tient et rien ne se tient.
Tout s’effondre.
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