Terreur sans frontières: comment le régime d’Alger mène la chasse à ses opposants à l’étranger

Une intervention policière en Algérie. (Photographie d'illustration)

L’Institut du Caire pour les études des droits de l’Homme (ICEDH) publie un nouveau rapport sur les tendances inquiétantes du régime d’Alger en matière de répression contre les militants en exil ou toute voix un tant soit peu discordante à l’étranger. Une véritable «stratégie de répression transnationale», sur fond d’accusations conspirationnistes, digne des pires «régimes autocratiques du monde». Lecture.

Le 10/12/2024 à 15h01

Le 25 août 2021, vers 13 heures, des hommes en civil se sont rendus au quartier Ettahrir en Tunisie pour y enlever Slimane Bouhafs, militant amazigh et chrétien converti, qui bénéficiait du statut de réfugié auprès du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR). Le 1er septembre, Slimane Bouhafs a comparu devant le juge d’instruction du tribunal de Sidi M’Hamed à Alger qui l’a placé en détention provisoire le temps d’une enquête sur six chefs d’accusation. Dans une réponse officielle à une demande des Nations unies visant à obtenir des éclaircissements sur l’arrestation, les autorités algériennes ont déclaré que Slimane Bouhafs avait franchi la frontière entre la Tunisie et l’Algérie de son plein gré et que les gardes-frontières l’avaient alors arrêté. Or, les circonstances de l’affaire semblent clairement indiquer que celui-ci a été enlevé par les autorités algériennes, avec la complicité éventuelle des autorités tunisiennes, avant d’être introduit de force en Algérie où il a fait l’objet de fausses accusations et où il a été soumis à un procès inéquitable et même à des actes de tortures.

Le 16 décembre 2022, le militant a été condamné à trois ans de prison sur la base d’accusations mensongères: Slimane Bouhafs a été accusé de diffuser de fausses informations et de porter atteinte à l’unité de l’Algérie. Sa condamnation a été confirmée en appel. Il a été libéré le 1er septembre 2024 après avoir purgé sa peine en prison. Le récit est relaté par l’Institut du Caire pour les études des droits de l’Homme (ICEDH), une institution qui fait autorité en la matière, fondée au début des années 1990 par Bahey Eldin Hassan, un des pionniers de la défense des droits humains en Égypte et qui consacre tout un rapport sur la «stratégie de répression transnationale» du régime d’Alger contre toutes les voix dissidentes résidant à l’étranger. Le document est intitulé «Algérie, recours à des méthodes de répression transnationale pour étouffer la dissidence» et il a été rendu public pas plus loin que le 26 novembre dernier.

L’affaire Bouhafs est le premier exemple documenté de la nouvelle politique du gouvernement algérien qui vise à étouffer la dissidence en élargissant l’éventail des cibles de sa répression des militants, des défenseurs des droits humains et des journalistes, à celles et ceux qui ne vivent pas dans le pays. Il y en a eu tant d’autres. Des dizaines d’autres cas ont suivi celui de Bouhafs visant les militants établis à l’étranger. La dernière en date n’est n’autre que le véritable scandale qui entoure, aujourd’hui encore, l’affaire Boualem Sansal, du nom de l’écrivain franco-algérien interpellé arbitrairement à l’aéroport d’Alger le 16 novembre, porté disparu pendant plusieurs jours avant d’être soumis à la justice et accusé d’«atteinte à l’intégrité du territoire national».

Plus que des actes isolés, il s’agit d’une véritable politique d’État. «Après la fermeture progressive de tous les espaces de contestation en Algérie, depuis l’écrasement du soulèvement populaire Hirak en 2020, les autorités ont élargi leur champ d’action répressif et s’en prennent désormais aux dissidents établis à l’étranger. Cet élargissement traduit la volonté du régime de réduire l’opposition au silence et de garder le contrôle, sans tenir compte des frontières géographiques», lit-on dans le rapport, basé sur des recherches, 19 entretiens concernant 21 dossiers, ainsi que sur un examen approfondi de sources de documentation primaires, notamment des décisions de justice, des demandes d’extradition et des déclarations officielles d’organisation de défense des droits humains et des autorités algériennes.

Un modèle général d’autoritarisme

En agissant de la sorte, le régime d’Alger n’invente rien. La répression transnationale est une tendance internationale adoptée par les régimes autocratiques du monde entier pour étouffer les voix dissidentes au-delà des frontières. Des pays comme l’Égypte et la Russie s’en sont aussi pris à des dissidents à l’étranger, en ayant recours à toute une série de pratiques, notamment des activités de surveillance, des actes de harcèlement et même des enlèvements. «L’adoption de ce type de mesures en Algérie reflète un modèle général d’autoritarisme, dans le cadre duquel les régimes cherchent à contrôler et à intimider les personnes qui osent les critiquer, où qu’elles vivent. Cette forme de répression renforce le caractère prédominant du discours des autorités», note le rapport.

La répression transnationale permet de faire taire ces voix dissidentes et de susciter la peur chez les militants qui vivent à l’étranger, en leur imposant les mêmes conséquences en cas de dissidence que s’ils vivaient dans le pays. Parmi les personnes ciblées par ces méthodes figurent notamment des militants de premier plan et des membres bien connus du mouvement Hirak de 2019, ainsi que des personnes qui dénoncent la corruption du gouvernement et les violations de droits humains ou qui formulent toute autre critique à l’égard des responsables algériens ou de l’État.

«Personne n’est hors d’atteinte»

L’ICEDH a relevé un continuum entre ces différentes tactiques, qui visent toutes à piéger les militants dans la toile de répression de l’Algérie. «En visant les dissidents qui se trouvent à l’étranger, le gouvernement algérien envoie un message clair: personne n’est hors d’atteinte». Il dissuade ainsi les opposants et militants potentiels. Ces actions extraterritoriales aident par ailleurs le régime algérien à promouvoir un discours fallacieux selon lequel le pays serait confronté à un réseau d’entités criminelles et terroristes qui opéreraient au sein de l’Algérie et à l’étranger et qui porteraient atteinte à la sécurité et à l’unité de l’État. Ce discours permet au régime de justifier les mesures répressives prises au niveau national et international, en se présentant tel un rempart contre le terrorisme, l’instabilité et les ingérences étrangères.

Plusieurs méthodes sont utilisées: demandes d’extradition injustifiées, enlèvements et pressions diplomatiques sur des pays tiers dans le but de harceler et d’intimider les militants à l’étranger. Dans certaines affaires documentées par l’ICEDH, des États se sont rendus complices de répression extraterritoriale. C’est notamment ce qui est arrivé à Mohamed Benhlima et Mohamed Abdallah, tous deux renvoyés de force en Algérie depuis l’Espagne où ils demandaient l’asile à la suite d’une demande d’extradition des autorités algériennes. Les autorités espagnoles ont expulsé ces deux militants et sonneurs d’alerte dans le cadre d’une procédure sommaire, prétextant qu’ils représentaient une menace pour la sécurité et leurs «relations diplomatiques avec l’Algérie», sans apporter la moindre preuve qu’ils participaient à des activités dangereuses.

Les familles et proches comme moyen de pression

«À leur retour en Algérie, les deux militants ont été torturés par des officiers de l’armée algérienne et condamnés à des peines d’emprisonnement au terme de procès inéquitables», lit-on encore. D’autres pays ont refusé d’exécuter les demandes d’extradition et les mandats d’arrêt internationaux émanant de l’Algérie, soutenant que les allégations formulées contre les militants concernés n’étaient pas suffisamment fondées. Ainsi, la Suisse a refusé d’extrader Mourad Dhina, membre de Rachad, une organisation que les autorités algériennes qualifient arbitrairement d’organisation terroriste.

En plus de cibler directement les militants, les autorités algériennes utilisent des méthodes de harcèlement et d’intimidation à l’égard des familles des militants dans le cadre d’une stratégie globale visant à réduire les voix dissidentes au silence. En témoigne, par exemple, Abderrahmane Zitout, le frère du militant politique Mohamed Larbi Zitout qui vit en exil en Grande-Bretagne. Abderrahmane Zitout a été placé en détention de manière arbitraire et a été soumis à un procès inéquitable uniquement en raison de ses liens familiaux. «Cette tactique qui tend à cibler les proches des militants vise à insuffler la peur, à isoler les dissidents et à les forcer à garder le silence, ce qui constitue une violation flagrante des normes internationales en matière de droits humains», explique l’ICEDH.

La stratégie du conspirationnisme

Le gouvernement algérien tient de manière stratégique des propos conspirationnistes pour justifier la prise de mesures de répression généralisée contre les défenseurs des droits humains et les militants. La répression transnationale joue un rôle central dans la présentation de l’opposition et du militantisme comme faisant partie d’un complot général contre l’État, qui serait orchestré par des organisations dont les membres se trouvent en Algérie et à l’étranger. En étiquetant les militants et les défenseurs des droits humains d’agents étrangers ou de terroristes, les autorités algériennes entretiennent un climat de peur et de méfiance, ce qui leur permet de justifier leurs mesures de répression.

«Le président Tebboune a plusieurs fois déclaré que les manifestations et les actes d’opposition étaient organisés par des puissances étrangères cherchant à déstabiliser l’Algérie. Après l’assassinat de Djamel Ben Smail dans la région de Kabylie, le président Tebboune a ainsi accusé le Maroc et Israël d’être à l’origine de cet incident», relate l’institut. Les médias contrôlés par l’État renforcent ce type de discours en présentant régulièrement les manifestants et les militants comme les pions de gouvernements étrangers. En raison des mesures de répression transnationale, les militants en Algérie et à l’étranger font donc l’objet de toute une série d’accusations communes, ce qui permet au gouvernement de poursuivre ses discours conspirationnistes par l’intermédiaire du processus judiciaire.

De nombreuses organisations de défense des droits humains ainsi que les mécanismes des Nations unies ont récemment tiré la sonnette d’alarme au sujet de la répression transnationale. «La peur s’est malheureusement diffusée et a traversé les frontières», déplore Aïssa Rahmoune, secrétaire général de la Fédération internationale pour les droits humains. L’avocat algérien, réfugié politique en France et cité par el quotidien Le Monde, rappelle que le risque d’arrestation «est bien réel. Et cela concerne beaucoup de gens: des anonymes, de simples militants, des journalistes, des réalisateurs ou des opposants de renom». À la FIDH s’ajoutent Human Rights Watch et Amnesty International qui dénoncent, entre autres, des «interdictions arbitraires de voyager».

Tout en appelant à garantir la protection de la liberté d’expression, de réunion et d’association, conformément au pacte international relatif aux droits civils et politiques, auquel adhère l’Algérie, l’ICEDH appelle à permettre aux Rapporteurs spéciaux des Nations unies et à d’autres observateurs internationaux de la situation des droits humains de se rendre en Algérie et d’y évaluer la situation des droits humains en toute indépendance, y compris les conditions de détention. Pour l’une comme pour l’autre recommandation, on peut toujours essayer.

Ce qui reste possible, c’est que les autres pays examinent les demandes d’extradition émanant de l’Algérie et rejettent celles qui sont basées sur des accusations motivées par des considérations politiques ou qui pourraient faire courir un risque de torture, de mauvais traitements ou d’autres graves violations de droits humains à la personne concernée, indique le rapport. Autre moyen, le recours aux voies diplomatiques dans le but de faire pression sur le gouvernement algérien pour qu’il mette un terme aux violations de droits humains commises en Algérie et à l’étranger.

Par Tarik Qattab
Le 10/12/2024 à 15h01

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VOS RÉACTIONS

@aydeen excusez moi mais, pourquoi à chacune de vos interventions vous êtes à côté du sujet , là en l'occurrence le sujet parle de la terreur imposé par le régime d'Alger et vous ! vous nous parlez du prix du baril de pétrole qui si il venait à chuté serait un élément déclencheur d'une révolte ?? Vraiment bizarre comme réflexion et ensuite vous nous dite que les pays Européens ne serait pas favorable à un anarchie dans le pays par peur d'une arrivée massive d'immigrés ?? Sincèrement je lis la plupart des commentaires et évite de commenter la plupart du temps, mais en vous lisant je me dois de vous répondre; vous vous éloignez à chaque fois du sujet ! Vous êtes toujours à la recherche d'une excuse concernant ce pays ! La prochaine fois relisez vous avant de poster merci.

@ Said sghir , le problème n'est pas dans le fait qu'il soit Algérien ou non , nous ne sommes pas sur le site raciste de Algérie Patriotique ! le problème vient de ces exemples qui sont toujours en déca de la réalité ; citer en exemple que si le prix du baril vient à chuter ce sera la Fin du régime car cela soulèvera une révolte populaire ! je veux bien que les gens aient un avis mais faut rester cohérent ; Ce que je veux dire c'est qu'avant d'en arriver là , les Algériens sont confrontés à des problèmes plus important et ce depuis les années 90 ex : Coupures d'Eau,d'électricité, produit de 1ere nécessité manquant,répression etc. et pourtant les généraux sont toujours au pouvoir .

Rifi:::::::// Bien reçu votre remarque, on fait autrement. Que ce régime s'abat sur la population a longueur d'année, ça ne doit pas faire réagir le Marocain, c'est entre le bas qui veut.? et le haut qui refuse, POINT Par ailleurs, posez SVP ces questions a ceux qui ont été virés de ce pays ce fameux novembre 1975. le policier : "eh maroquia, tu rentre dans ton pays ! la femme : mon mari est absent mon petit est a l'école ! Quelle école ? on va le chercher !! Une fois la famille réunie, ainsi que d'autres, direction gare de fret de aïn témouchent, tous dans les wagons a bestiaux direction maghnia 6h 30 de voie ferrée, débrouillez-vous pour la pause pipi dans les wagons et bonjour a ton soultane hassan dos !!! y avait pas ce temps les réseaux sociaux; boumedienne était maitre orchestre

@Rifi, le karghouli dont tu parles, voulait faire passer un message, comme d'ailleurs le font d'autres karghoulis sur les réseaux sociaux....si la tyrannie algérienne tombe, l'Europe sera inondée de haraga algériens, les HC ne seront plus bon marché pour l'UE ( vendus aux européens en dessous du marché boursier), le terrorisme algérien naîtra à nouveau en Europe etc etc, en résumé, si la voyoute et criminelle dictature militaire ânegérienne disparaît, ça sera le chaos. Le karghouli sous développé pense est le nombril du monde 😂

Pour le régime dictatorial algérien, la chute du tyran Bachar el Assad, doit être vu comme un avertissement. Les similarités entre les deux régimes brutaux sont troublantes : une économie mal conduite, une mainmise militaire et une dépendance à des alliances internationales fluctuantes. Avec Bachar hors-jeu, Alger perd également un allié clé dans sa quête d’influence régionale. Cet affaiblissement pourrait accélérer son isolement diplomatique, au moment même son souffre-douleur le Maroc renforce ses positions grâce à des partenariats solides et une diplomatie proactive, mais kedboune se serait rendu à Nouakchott en vue de participer à la Conférence sur l’éducation, la jeunesse et l’employabilité😂, mais la réalité est autre, cette visite revêt de kedboune a un caractère de nuire le Maroc😂

Pourquoi cette tyrannie algérienne? La réponse réside dans la peur viscérale qu’inspire la démocratie à ces régimes. Ce régime dictatorial algérien, comme celui de Bachar, redoute par-dessus tout l’élan populaire vers un État civil et démocratique. Depuis le Hirak, qui a vu des millions d’Algériens réclamer la fin de la domination militaire et l’instauration d’un État de droit, Alger perçoit dans toute revendication démocratique une menace existentielle. En agitant l’épouvantail des menaces terroristes, l’Algérie cherche à légitimer ses alliances avec des régimes brutaux et à justifier sa propre répression. Mais, ce discours ne trompe plus personne. Comme en Syrie, le véritable ennemi d’Alger n’est pas un prétendu terrorisme mais bien l’aspiration de son peuple à la liberté et à la justice

Le régime dictatorial et criminel algérien attendait la première occasion pour faire payer à la France sa volte-face sur le sujet du Sahara MAROCAIN et son rapprochement tonitruant avec l’ennemi marocain 😂 Il l’a trouvée en la personne d’un écrivain franco-algérien de 76 ans, qu’il n’a pas hésité à jeter derrière les barreaux pour atteintes à la sûreté de l’Etat😂à peine celui-ci avait posé pieds à l’aéroport d’Alger. Pour qui connaît Boualem Sansal, l’affaire serait risible si elle n’était aussi grave. Figure importante des milieux littéraires en France depuis son premier roman, le Serment des barbares (1999) consacré à cette guerre civile algérienne que le régime tente de mettre sous silence, dont des criminels militaires algériens sont mouillés jusqu'au cou, y compris le nain JeanGriha

le pouvoir algérien bénéficie de l 'absence d'une opposition structurée et crédible , avec un personnage ou parti assez rassembleur pour représenter une alternative. Les conditions de révoltes populaires seront réunies avec une chute durable du prix du baril ,une économie qui n'en est pas une , et le maintien d'un appareil sécuritaire budgétivore.Pour autant , quelle serait l'alternative ; l'anarchie n'est pas souhaitée par les européens , l'exemple syrien , avec des millions de réfugiés serait un scénario cauchemardesque. Une révolution de palais déguisée en transition douce vers un régime moins caricatural et anachronique serait un scénario qui permettrait à la truandtocratie de négocier son retrait apparent. Mais ,je les pense assez mauvais, pour couler leur pays pour survivre.

Vous avez l'exemple type du voisin qui se fait passer pour un Marocain, il n'y a qu'à lire son Com pour comprendre que c'est un Algerien et cest le seul qui défend les cabranates, aucune honte déclare toi assume ce que tu es n'ai pas peur et arrête de te faire passer pour ce que tu n'es pas

Les achats d'armes à outrance c'est juste pour matter les algériens et leur rappeler les horreurs de la décennie noire gravés en lame de fer dans esprit et l'imaginaire de chaque citoyen. C'est la raison pour laquelle le hirak ou la fête des voisins de chaque vendredi à montrer ses limites, et depuis la junte belliqueuse machiavélique sanguinaire Ânegerienne a montré en puissance.

accuser la France, le Maroc et Israël de déstabiliser l'algérie ? est ce qu'il y a besoin de 3 pays pour le faire, ce pays n'est déjà pas si stable que ça avec les pénuries allant des denrées alimentaires aux soins, un avenir incertain. Mais comme le peuple est docile et applaudit les discours débiles de deux crétins que sont le président désigné et son sénile de "général" qui par des mensonges éhontés entassés tel le mille feuilles et la fierté d'avoir un pays cadeau de la France et tous jurent qu'ils l'ont arraché a la France grâce au sacrifices de millions de martyrs, alors ça marche, au diable les droit de l'homme mal vus par les sionistes et ce Maroc ainsi que la France selon les jours

Pourquoi ces institutions, organismes, États de droits, les puissances occidentales attendent toujours jusqu'à la chute des régimes totalitaires pour juger leurs atrocités inhumaines et traîner les généraux devant le tribunal international, comme le cas de la Yougoslavie,Chili,serbie,Syrie, et bien sûr ce fameux régime excellent dans la torture et le complot contre son peuple et ses voisins. Ne serait-il pas plus efficace d inculper ce régime maintenant à chaud et traîner ses bourreaux de la décennie noire devant le tribunal international. Pourquoi on doit laisser tout un peuple souffrant supporter le narcissisme d une poignée de gangsters en tenue militaire à quoi sert une instance internationale de droit s il n arrive pas à blamer les folies d un régime sanguinaire avec preuve à l appuie

AntiKhargouli::::::// Je me permets SVP une correction ce peuple ne se focalise pas mais le Maroc lui est pointé du doit par le régime qui l'incite a offenser le Maroc de Makzen sans déchiffrer le sens du mot, l'incite contre les marocains même ceux MRE qu'ils agressent verbalement, style "vous allez crever de froid tabone va vous couper l'électricité come il l'a fait pour le gaz". Il faut impérativement que le ministre français de l'intérieur surveille de près cette grande mosquée de Paris, c'est un nid de crabes, ambassade bis algérienne

@Awal une réponse simple : Le PEUPLE c'est lui qui ne fait rien, préférant se focaliser sur son voisin le Maroc plutôt que leur vrai problème.

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