Réunion BRICS-Afrique: l’Afrique du Sud, otage d’une idéologie caduque, selon un think tank américain

Les cinq dirigeants du Groupement BRICS (Chine, Inde, Afrique du Sud, Brésil et Russie).

L’Afrique du Sud, dirigée par le Congrès national africain (ANC), est toujours sous l’emprise de positions caduques, basées sur une idéologie obsolète et révolue, a souligné Paolo Von Schirach, président du think tank américain Global Policy Institute (GPI).

Le 19/08/2023 à 18h14

«La position de l’Afrique du Sud vis-à-vis du Maroc est purement idéologique et ne repose pas sur des faits», a affirmé Von Schirach, président du think tank américain Global Policy Institute (GPI), dans une déclaration à la MAP, relevant qu’il n’est pas surprenant de voir l’Afrique du Sud instrumentaliser des événements comme la réunion BRICS-Afrique, prévue le 24 août à Johannesburg, pour nuire aux intérêts du Royaume.

Ces agissements trahissent la partialité et l’incapacité d’une Afrique du Sud, connue pour son hostilité primaire envers le Royaume et son intégrité territoriale, à reconnaître la position du Maroc forgée dans l’histoire et la légitimité, a indiqué le président du centre de réflexion basé à Washington. Ce dernier a également noté que de tels agissements ne font qu’attiser les divisions en Afrique aux dépens de la stabilité, l’unité et la cohésion, alors que le continent est confronté à une multitude de défis.

Une source autorisée du ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger a affirmé ce samedi 19 août qu’il n’a jamais été question pour le Maroc de répondre positivement à l’invitation à la réunion BRICS-Afrique prévue en Afrique du Sud ni de participer à cette réunion à quelque niveau que ce soit.

En réponse à certains médias qui ont fait, récemment, référence à une hypothétique candidature du Royaume à l’adhésion au groupement BRICS, ainsi qu’à son éventuelle participation à la prochaine réunion BRICS-Afrique, la même source a souligné qu’il ne s’agit pas d’une initiative des BRICS ou de l’Union africaine, mais d’une invitation émanant de l’Afrique du Sud, à titre national.

«C’est une réunion organisée sur la base d’une initiative unilatérale du gouvernement sud-africain», a-t-on précisé de même source, ajoutant que le Maroc a donc évalué cette invitation à l’aune de sa relation bilatérale tendue avec ce pays.

Par Le360 (avec MAP)
Le 19/08/2023 à 18h14

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Ça devient soûlant avec ce BRICS par-ci et par-là, comme si une fois membre, certains pays vont sortir de leur sous-développement! Franchement, d'être aux côtés des pays dictatoriaux de la pire espèce à l'exception de l'Inde et l'Argentine + un pays le plus dangereux au monde "le pays des gangsters de l'anc"...et vous avez un état voyou et dictatorial né en 1962 côté Est, qui fait tout un fromage pour y accéder en offrant 1 milliard et 500 millions de $ du misérable petit peuple Dz pour être membre, au lieu d'investir cette somme dans des infrastructures locales, comme par exemple l'eau, où le pauvre lambda algérien ne voit plus l'eau courante depuis +2 mois et ne se lave non plus (bonjour l'hygiène fi bit raha ) + des files interminables dès l'aube pour la bouffe (YouTube ) + les HARAGAS

Des traîtres ingrats comme les Ânegeriens, pourtant les rapports de Nelson Mandela avec le Maroc remontent aux années 60. Il avait séjourné à Oujda pendant deux ans (1960-62). Mandela a gardé des liens très étroits avec le royaume qui l'a bien accueilli et soutenu militairement, financièrement dans son action pour la liberté et la démocratie de l'Afrique du Sud.

La ficelle est trop grosse de la jungle de l'Afrique du sud et la junte belliqueuse machiavélique sanguinaire Ânegerienne. Sauf que nous sommes pas des marocains pour rien.

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